« Bien sûr, il y eut Mozart, Lulli, Bach et tant d’autres dans l’Europe des XVIIe et XVIIIe siècles. Bien sûr, il y eut, répertoriées, paroles et partitions de chansons populaires, d’hymnes de fêtes (...). Mais pour ce qui constitue, appelons-le “le reste”, c’est-à-dire l’impressionnant tohu-bohu des paroles dites et des voix en plein échange, des appels, des cris sourds ou égosillés, seul (…)
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